Vous devez connaitre cette information qui affirme que le développement de vos muscles ne rendra pas votre métabolisme fort. Eh bien, cette dernière n’est pas fondée. Il est indiscutable que celui qui veut se former une apparence physique d’athlète guette aussi le renforcement de son métabolisme. Selon certaines informations, 500 g de muscles carboniseraient 50 calories supplémentaires en cas d’inactivité. Donc, en prenant 5 kg de biceps, votre degré métabolique en inaction utiliserait de façon journalière 500 calories en surplus. Voici ce qu’il en est réellement.
Sommaire
Véracité du mythe ?
Malgré les incertitudes, bon nombre de revues sportives ont redit cette affirmation concernant les 500 grammes de muscles. Les mentors du programme ont quant à eux, bondit sur le concept selon lequel diminuer du poids permet d’avoir du muscle. Des médecins de sport ne maitrisant pas bien le sujet et les recherches effectuées faisaient des déclarations. Ces dernières s’accentuaient sur le fait que les muscles carboniseraient plus d’une cinquantaine de fois les calories que la graisse. Ils complètent en disant que la musculation permettrait d’accroitre considérablement le métabolisme corporel. Ainsi, soulever du poids pourrait être plus efficace que l’endurance dans le processus de perte de poids. Ces mêmes responsables de presse détenant la mauvaise information disent qu’une courte période d’exercices musculaires est suffisante par jour. Cet entraînement serait assez pour acquérir 2,5 kg de muscle chétif en peu de semaines. Ainsi cela favoriserait le fait que le corps carbonise de manière journalière 250 calories additionnelles.
Cette information est-elle vraie ?
Un exemple fréquemment croisé dans les salles de fitness permet d’analyser l’information. Un pratiquant des exercices musculaires est capable de prendre 9 kg en supplément musculaire. Ceci se fait sur une longue période d’activités sportives de biceps intenses et fréquentes. Si cette légende était raisonnable, cela signifierait qu’il ne pourra pas acquérir 900 calories capables de se carboniser en absence d’acharnement, et ceci au repos à cause de la supposée croissance métabolique. Cette histoire aiderait l’athlète à prendre chaque jour une alimentation démesurée d’environ 3000 calories sans diminuer son poids.
En vérité, il est constaté que l’apport musculaire dans le degré métabolique basique en inaction est insignifiant. La participation des muscles dans ce cas est faible. Le travail du cerveau se nourrit d’environ 20% du métabolisme du corps en inactivité. À cela s’ajoute le cœur qui a souvent des battements. Cet organe compte pour environ 15 à 20%. Le foie quant à lui en détente participe à 20%. Les reins suivis des poumons et le reste des tissus et biceps ont une contribution de 20 à 25 % du métabolisme basique du corps en période calme. Chaque organe a donc un taux de participation dans le processus métabolique de l’organisme. Ainsi, si vous vous dépensez durement à soulever des haltères et des poids, vous augmenterez votre tonus musculaire. Ce dernier accroit donc de 20%, et ce résultat est très appréciable. Il est donc observé une croissance maximale du métabolisme en période calme d’environ 5%. Vu qu’un être humain qui a un poids de 90 kg possède au repos un métabolisme de près de 2000 calories. Dans ce cas, une extension de 20% du poids des biceps ne lui donnera qu’un agrandissement de 80 à 100 calories. Ce résultat équivaut à la moitié d’un accroissement naturel.
Analyses de chiffres
Ici, il est important de faire une analyse des statistiques et en y complétant la fonction qu’exécute la graisse corporelle. Dans le cas où, vous vous basez sur la littérature des disciplines de biochimie de métabolisme sur le thème, vous pouvez obtenir une théorie. Avec cela, 500 g de biceps calcinent environ 6 calories en une journée. Dans le même temps, 500 g de masse grasse absorbent 2 calories chaque jour. Ces précédentes informations viennent contredire le mythe. Ainsi, le biceps est trois coups plus fonctionnels du point de vue métabolique en inaction que la matière graisseuse et non une cinquantaine de fois.
Une fois encore, vous devez saisir le modèle cité plus haut pour effectuer les calculs. Les 9 kilogrammes de biceps qu’il pouvait acquérir pendant ces nombres d’années d’exercices fréquentes correspondraient à 120 calories en plus. Ceci se fait avec un degré du métabolisme en inaction. Cette information n’est pas négligeable. Néanmoins, ceci est inférieur à 1000, mais l’athlète a également effectué de nombreux exercices physiques d’endurance et un programme draconien pour éliminer 22 kg de matières grasses. Cela s’illustre par une dégradation de 100 calories du degré métabolique basique de l’organisme en inaction. Donc, suite à cette modification corporelle obstinée, la nette prise de calories ne pourra être que de 20 calories en supplément chaque jour.
Récapitulatif
La musculation combinée à un programme alimentaire aide à garder ou augmenter son poids musculaire en diminuant la graisse. Cette action favorise le développement de la force, le tonus des os et des biceps. Néanmoins, chaque gain de biceps équivaut à un accroissement de la dépense énergétique totale. C’est un bénéfice que n’amènent pas les activités d’endurance. Toutefois, des études disent que la course intensive détruit plus de calories chaque heure que les activités musculaires. L’excitation du métabolisme venant des biceps n’est pas suffisante pour pallier cette divergence.

Naturopathe de formation depuis 2011, je me suis spécialisé dans le suivi des athlètes sportifs pour les aider à atteindre leurs objectifs sportifs. Diplômé de l’EESNQ, je propose sur BodyScience une approche ludique du sport et de la nutrition.